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C’est sous un joli soleil d’hiver qu’une trentaine de Bascos se sont élancés hier à l’assaut des crêtes d’Espelette. Douce montée qui s’est transformée bientôt en une balade aérienne avec une vue imprenable sur la côte basque, avant de s’achever… par une ultime pente raide. Pique-nique vite expédié sous un petit vent glacé et nos baroudeurs ont plongé vers le village d’Espelette où ils se sont engouffrés dans une auberge basque, histoire de réchauffer les corps. Prochain rendez-vous les 12 et 13 février pour un week-end ski-raquettes-rando. En savoir + : Cliquez !
Korrika, la grande course relais en faveur de la langue basque, organisée par AEK (la fédération des cours de basque aux adultes) démarrera le jeudi 7 avril de Trebiñu en Araba, pour s'achever à Donostia le dimanche 17 avril, après avoir parcouru plus de 2000 kilomètres. Elle traversera les provinces du Labourd, de Basse-Navarre et de Soule les 11 et 12 avril prochains.
Cette année, les organisateurs de la korrika ont souhaité «apporter des nouveautés dans la korrika culturelle, notamment grâce aux supports audiovisuels». C'est dans cette optique qu'est organisé un concours de clips vidéo : Euskalaklip.
Pour participer, il suffit d'enregistrer un film court d'une durée de trois minutes maximum, en utilisant au moins une fois «maitatu, ikasi, ari... euskalakari», le message de cette 17e édition.Cette vidéo peut être réalisée avec un téléphone portable. Les inscriptions ont lieu jusqu'au 25 février, par le biais du site Internet www.korrika.org . Un vote en ligne aura lieu prochainement. Le gagnant remportera un ordinateur Mac. Source : Le Journal du Pays Basque
Le Conseil national des villes et pays d'art et d'histoire a donné vendredi dernier «un avis favorable avec félicitations» pour le dossier de candidature de la ville de Bayonne. Il faudra cependant attendre les signatures officielles du ministre de la Culture (dont la venue est prévue avant la fin de l'année à Bayonne), la région et le département. Ce titre honorifique constitue néanmoins une bonne nouvelle pour le tourisme !
Dans les semaines à venir, la municipalité devrait engager une campagne de sensibilisation des habitants à la richesse architecturale, patrimoniale et environnementale de leur ville , telle que prévue par la convention "Ville ou Pays d'art et d'histoire".
Nous vous proposons de commencer avec cette petite vidéo :
" EHZ ne doit pas disparaître" écrivions-nous après la tempête qui avait dévasté le festival Euskal herri Zuzenean le vendredi 2 juillet dernier. Le festival avaient certes repris le lendemain, le samedi, mais malgré la forte participation ( 16 400 festivaliers), l’incertitude restait grande pour l’avenir: " Les pertes causées par la tempête ont été évaluées à 200 000 euros ". "Le tiers de notre budget disparaît, mettant en péril l'association organisatrice et la survie du festival. » ", indiquait en effet Eneko Gorri, chargé de la communication au sein d’ d'EHZ.
L’assemblée générale des bénévoles de EHZ, samedi dernier a apporté des nouvelles rassurantes pour tous ceux qui comme nous se félicitent de l’existence d’un tel festival au Pays basque.
A priori les problèmes financiers sont en cours de résolution : campagne de dons, non demande de remboursement de 90% des festivaliers du vendredi soir ( chapeau les gars !), et remboursement par l’assurance des¾ des frais techniques et des frais de programmation de cette satanée soirée. Parallèlement des demandes de subventions ont été adressées aux institutions ( Institut culturel basque, Office public de la langue basque et Conseil général notamment) ; le festival étant autofinancé jusqu’à cette année à 90 %, un cas unique.
Nous pouvons donc espérer une édition 2011 ! Elle devrait se dérouler à nouveau à Hélette avecun nouveau slogan : EHZ mugetatik’ at , EHZ au-delà des frontières ( au sens large , administratives, culturelles, symboliques, sociales, politiques,etc.)
EHZ 2011 ce sera les 1er , 2 et 3 juillet 2011 à Hélette !
Le numéro de novembre du magazine de GEHITU ( l’association LGBT de San Sébastien) est désormais en ligne avec des pages en français. Pour le télécharger , cliquez sur la photo !
Les Basques ont connu au cours de l’Histoire de grandes vagues d’émigration. On estime à 4.500.000 les personnes d'origine directe basque à l'étranger et à 15 000 000 celles ayant un nom de famille basque. En Argentine ce sont ainsi pas moins de 10% de la population totale qui ont des origines basques, en Uruguay 14% et au Chili 20% ! C’est dire !
Découvertes dans les années 90,les archives du souletin Guillaume Apheça (1828-1919), agent d'émigration pour l'agence Colson de Bordeaux, constituent à cet égard un témoignage exceptionnel de ces grands départs.
Parmi les documents retrouvés, se trouvent des cahiers, des classeurs, des lettres et de multiples feuilles volantes ayant appartenu à cet agent d’émigration mais aussi sept registres de départs et de paiements pour l'Argentine. Ces registres, couvrent la période de 1856 à 1913 et recensent près de 15 000 noms de voyageurs (émigrants, marchands) pour la plupart originaires de Soule et de Basse-Navarre.
L'Institut culturel basque, l'association Euskal Argentina et celle des Amis du Musée de Basse-Navarre, se sont associés pour mettre à disposition du grand public, sur le portail internet eke.org, une version simplifiée de ces registres. Partez donc vite à la recherche de votre lointain cousin d’Amérique en cliquant ICI !
Euskal Museoa / Musée basque de Bilbao expose des photographies prises par Eulalia Abaitua (1853-1943), la première photographe de référence au Pays Basque : une rétrospective de 55 des plus beaux clichés de cette photographe amateur qui a pris sur le vif des gens simples, les coutumes, les fêtes, les traditions de Biscaye.
Donostia (San Sébastien) accueille depuis samedi et jusqu’au vendredi 5 novembre, la 21e Semaine du cinéma fantastique et de terreur. La cérémonie d’ouverture a eu lieu samedi au théâtre Antzokia avec l'arrivée sur la scène de l'ange-démon ci-dessus... Dans la programmation du festival, nous avons remarque le film belge « vampires » à l'humour bien déjanté (vidéo). A noter que de nombreux films et courts-métrages sont diffusés avec un sous-titrage en langue basque.
Ce 1er novembrepeut être pour vous l’occasion de découvrir à quelques minutes de la côte, le magnifique petit village d’Arcangues et de s’arrêter sur la tombe de Luis Mariano , de son vrai nom Mariano Eusebio González y García, ce ténor basque qui accéda à la célébrité en 1945 avec La belle de Cadix, opérette de Francis Lopez.
En 2010, sa tombe à Arcangues est encore visitée et fleurie par ses fans, 40 années après son décès !
Etrange mystère…
Peut-être faut-il croire ce qu' écrit Fréderic Vignale dans un article La vie intime et secrète de Luis Mariano :« les gardiens du temple refusent qu’on évoque les inclinaisons (sic) amoureuses du latin qui faisaient pâmer d’amour les femmes de sa génération... Ce n’est pas un coming out, bien des années après ce n’est pas salir la mémoire d’un homme que d’évoquer cela, c’est même particulièrement intéressant lorsque les chanteurs gays font autant chavirer le coeur des foules hétéro, cela participe au phénomène de fantasme collectif. ..
Littéralement, on ne désire que ce qu’on ne peut posséder.
C’est même particulièrement charmant d’imaginer que lorsque Luis chantait les yeux de velours de la belle de Cadix il pensait peut-être au regard d’un jeune éphèbe. »
Enfin peu importe au final les sensibilités amoureuses de Luis, c'était surtout un artiste un brin kitsch qui a apporté beaucoup de bonheur à nos grand mères! Alors...
En basque, Lurrama signifie la Terre-Mère, nourricière et bienfaitrice, mère de la lune et du soleil. La 5ème édition du salon de l'agriculture paysanne LURRAMA - La Ferme Basquese tiendra à Bayonne à partir de demain 29 octobre jusqu’à dimanche soir. Cette manifestationcréée en 2006 par Euskal Herriko Laborantza Ganbara, a pour objectif une sensibilisation à l’importance d’une agriculture de qualité, avec des modes de production soucieux du bien être des bêtes, des paysans, des consommateurs et des générations futures.
Parrainé par le Professeur cancérologue Dominique BELPOMME, le thème du salon est : Pourquoi manger BON, SAIN et LOCAL?
Au programme : Tables rondes et conférence, Gastronomie , la Ferme LURRAMA avec ses animaux, le marché fermier, le village des enfants et de l'environnement et comme invitée cette année : la Dordogne - Périgord.
Lurrama c’est un espace ludique, convivial de 8000 M2 autour de la découverte de l’agriculture paysanne et durable du Pays Basque. Cette édition 2010 se déroulera sur le site de Glain près de la Maison des Associations à Bayonne. Tarif d’accès au site : 3€ (gratuit pour les moins de 15ans). + Infos : www.lurrama.com
Vous avez été au moins trois à vous gausser du modeste post sur le concours des meilleurs pintxos du Pays Basque. Et bien sachez que le concours vient de s’achever : C’est le jeune cuisinier Bixente Muñoz, chef du "Gran Sol"à Hondarribia ( Fontarrabie) qui a remporté le 5e championnat de pintxos du Pays Basque, devant 74 chefs, dont trois représentants d’Iparralde ( de ce côté – ci de la Bidassoa) qui n'ont pas accédé à la finale. Le jeune chef en a même pleuré ! ( vidéo)
Bixente Muñoz a présenté un pintxo diablement appétissant : un œuf tout simple posé sur lit de « migas », sorte de chapelure aux chipirons, accompagné de pomme de terre présentée sous la forme de cheveux d'ange !
« Décliné en T-shirt en même temps que sa parution en BD, Okatxu, manex tête noire, risque de devenir rapidement la «coqueluche» des adolescents du Pays Basque Nord, et a fortiori du territoire de Saint-Jean-Pied-de-Port. Publié par les éditions Argia, Okatxu, hegal egiten, (NDLR : « Okatxu vole » en basque) est une bande dessinée qui évoque la vie des bergers basques. Illustré par Asisko, écrite par Mattin Irigoien et coloré par Adur. Okatxu dépeint la réalité du pastoralisme à partir du regard de la brebis. » ( lire tout l’article sur le site Journal du Pays Basque)
La ville basque de Vitoria-Gasteiz (Alava) a été désignée Capitale verte de l'Europe pour 2012 a annoncé ce jeudi, à Stockholm, le commissaire européen à l'environnement.
Ce titre de Capitale verte de l'Europe, institué en 2008, est attribué chaque année par l'UE et un jury d'experts, à la ville qui aura rempli des objectifs "ambitieux" en matière d'environnement, de développement durable et pouvant agir comme "modèle" pour d'autres villes.
Vitoria-Gasteiz succède à Stockholm choisie pour 2010 et à Hambourg pour 2011.
La ville compte 240 000 habitants qui vivent à moins de 300 mètres d'espaces verts. Parmi les mesures phares de la municipalité figure une réduction de la consommation d'eau à 100 litres par jour par habitant.
Le maire de la capitale administrative du Pays basque espagnol, Patxi Lazcoz a déclaré qu'il devait ce titre à la mobilisation des habitants de sa ville et aussi à 20 années de travail. "La première chose que je souhaite c'est de regagner tout suite la capitale d'Euzkadi pour célébrer ce titre avec du vin et avec toute la population", a-t-il dit.
Après San Sébastien ce week-end, le Béjart Ballet Lausanne sera à Biarritz le mardi 19 octobre à 20h 30 à la Gare du Midi, pour une soirée exceptionnelle, dans le prolongement du Temps d’Aimer, avec une pièce emblématique de Béjart : « Ce que l’amour me dit » et « Aria » la dernière création de Gil Roman qui,depuis la mort de Maurice Béjart en2007,a repris la direction artistique de la compagnie.
Réservations par téléphone : De 8h à 18h au 05 59 22 44 66 (Possibilité de paiement par carte Bleue visa). Tarif plein 40 € tarif réduit 35 €, tarif fidèle 30 €, tarif découverte 12 €.